Patata
Membre validé
Ton existence est dans la tentative.
Un jour qu'il se baladait dans l'avenue froide désespérante un mardi soir. Un jour qu'il avait passé encore dans sa tête à réfléchir tendrement, sa douce tête est lourde. Il tombait sous l'illusion de la lune la face en l'air le corps dans l'espace, consommait l'espoir en rampant. Il est une particule de lumière qui se déplace dans un schéma infini qui le dépasse le survole et les anges se moquent de lui les démons ont une larme à l'œil. Laissez-lui un instant de répit. Sa présence est une énigme sur un sol sec, infertible. Poursuivi d'une ombre, l'enfant est né d'une mère morte, le placenta était pourri, champignons, maudit, répulsion. Il se déplace comme le souvenir d'une émotion, s'efface comme la buée insignifiante sous la pluie, là les cris il ne les entend plus. Quand le néant venait toquer à la porte de son père, s'essuyait les pieds sur le tapis de son aïeul, manger à la maison de son ancêtre, il le voit le néant géant avec ses grandes mains noires qui détruisent enveloppent d'un sommeil profond. Sous la terre il le transformera aussi, il viendra aussi et il épousera sa femme et volera ses enfants. L'ogre. Il l'a trouvé tout proche de lui tout près, il lui vole ses idées, sa vie, l'élimine de l'équation, il respire encore, plus pour longtemps. Vite ressentir, il marche et il a faim il va tout faire pour manger boire à sa soif éteindre exterminer celui qui l'étrangle ne réapparaîtra jamais plus. De cette balade on ne s'enfuit jamais, jamais, le poids on ne le soulève jamais non plus, l'attraction lunaire comme une puissance, ton existence est dans la tentative, une ombre en train de la baiser et lui donner le sida.~~
Un jour qu'il se baladait dans l'avenue froide désespérante un mardi soir. Un jour qu'il avait passé encore dans sa tête à réfléchir tendrement, sa douce tête est lourde. Il tombait sous l'illusion de la lune la face en l'air le corps dans l'espace, consommait l'espoir en rampant. Il est une particule de lumière qui se déplace dans un schéma infini qui le dépasse le survole et les anges se moquent de lui les démons ont une larme à l'œil. Laissez-lui un instant de répit. Sa présence est une énigme sur un sol sec, infertible. Poursuivi d'une ombre, l'enfant est né d'une mère morte, le placenta était pourri, champignons, maudit, répulsion. Il se déplace comme le souvenir d'une émotion, s'efface comme la buée insignifiante sous la pluie, là les cris il ne les entend plus. Quand le néant venait toquer à la porte de son père, s'essuyait les pieds sur le tapis de son aïeul, manger à la maison de son ancêtre, il le voit le néant géant avec ses grandes mains noires qui détruisent enveloppent d'un sommeil profond. Sous la terre il le transformera aussi, il viendra aussi et il épousera sa femme et volera ses enfants. L'ogre. Il l'a trouvé tout proche de lui tout près, il lui vole ses idées, sa vie, l'élimine de l'équation, il respire encore, plus pour longtemps. Vite ressentir, il marche et il a faim il va tout faire pour manger boire à sa soif éteindre exterminer celui qui l'étrangle ne réapparaîtra jamais plus. De cette balade on ne s'enfuit jamais, jamais, le poids on ne le soulève jamais non plus, l'attraction lunaire comme une puissance, ton existence est dans la tentative, une ombre en train de la baiser et lui donner le sida.~~
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