GriffeurDeRoux
Pilier
Ici, je me posterai comme fervent défenseur de la thèse qui veut que l'homosexualité est une partie intégrante de la nature humaine et qu'à ce titre elle ne peut être reniée qu'injustement. Ce qui veut dire que tout mauvais regard porté sur les pratiques homosexuelles ne peut être que biaisé par la culture.
En effet, cher lecteur, je peux te faire jouir en t'enculant, car tu as une prostate, ça n'est sans doute pas pour rien, Marty en sait peut-être quelque chose.
On observe également des comportements de ce genre chez nos cousins les grands singes : les babouins s'enculent, et chez les bonobos c'est quelque chose de très courant. Les animaux ne développant que peu de comportements acquis, on peut en déduire que c'est là quelque chose d'inné tant c'est fréquemment observé, indépendamment de tout contexte pouvant induire le dit comportement.
Le caractère inévitable de l'homosexualité ne fait donc selon-moi pas de doute. Ce n'est manifestement pas un choix.
Je me soucis beaucoup des conséquences que peuvent avoir l'acceptation de tel ou tel pratique sur la société dans son ensemble et beaucoup disent que les moeurs sont subverties par le niveau d'approbation de la société envers l'homosexualité. C'est vrai en soit, mais il faudrait d'abord savoir si les moeurs actuelles sont optimales pour le fonctionnement de notre pays. Quel impact ce pourrait avoir ?
Sur la démographie : Les gays ne représentent qu'une infime partie de la population, et même si ils étaient forcés d'être dans un couple hétéro, ils ne feraient pas beaucoup d'enfants, n'étant pas attirés par leur partenaire.
Sur la différenciation des genres indispensable à la construction de la famille : Les homosexuels vivent entre-eux et n'empêchent en rien les autres de vivre leurs vies.
En soit, dans la vie quotidienne, ces gens semblent se comporter de la même manière que les autres, si ce n'est qu'ils ont des relations sexuelles et amoureuses qui sont homosexuelles et non hétérosexuelles.
En revanche, on sait que l'homosexualité est innée et inévitable, mais qu'elle n'est en revanche pas d'héritable, ça veut dire que génocider les gays ne résoudrait pas le problème. Les gays apparaissent assez aléatoirement dans la population. En ce sens c'est quelque chose d'incontournable et il conviendrait de composer avec : offrir aux gays un statut qui sera certes toujours à part, puisqu'il ne représenteront toujours qu'une infime partie de la population, mais, au moins, un statut accepté par tout le monde.
En effet, moins ils seront ostracisés et plus ils seront intégrés à notre monde, comment quelqu'un dont les pratiques peuvent lui valoir une mise au pilori peut-il être utile à sa société ? Il n'aura que rancoeurs envers les autres ou envers lui-même, et cette rancoeur l'empêchera d'avancer ou de servir la collectivité. C'est pourquoi il serait plus utile pour nous tous de les accepter tel qu'ils sont.
En effet, cher lecteur, je peux te faire jouir en t'enculant, car tu as une prostate, ça n'est sans doute pas pour rien, Marty en sait peut-être quelque chose.

On observe également des comportements de ce genre chez nos cousins les grands singes : les babouins s'enculent, et chez les bonobos c'est quelque chose de très courant. Les animaux ne développant que peu de comportements acquis, on peut en déduire que c'est là quelque chose d'inné tant c'est fréquemment observé, indépendamment de tout contexte pouvant induire le dit comportement.
Le caractère inévitable de l'homosexualité ne fait donc selon-moi pas de doute. Ce n'est manifestement pas un choix.
Je me soucis beaucoup des conséquences que peuvent avoir l'acceptation de tel ou tel pratique sur la société dans son ensemble et beaucoup disent que les moeurs sont subverties par le niveau d'approbation de la société envers l'homosexualité. C'est vrai en soit, mais il faudrait d'abord savoir si les moeurs actuelles sont optimales pour le fonctionnement de notre pays. Quel impact ce pourrait avoir ?
Sur la démographie : Les gays ne représentent qu'une infime partie de la population, et même si ils étaient forcés d'être dans un couple hétéro, ils ne feraient pas beaucoup d'enfants, n'étant pas attirés par leur partenaire.
Sur la différenciation des genres indispensable à la construction de la famille : Les homosexuels vivent entre-eux et n'empêchent en rien les autres de vivre leurs vies.
En soit, dans la vie quotidienne, ces gens semblent se comporter de la même manière que les autres, si ce n'est qu'ils ont des relations sexuelles et amoureuses qui sont homosexuelles et non hétérosexuelles.
En revanche, on sait que l'homosexualité est innée et inévitable, mais qu'elle n'est en revanche pas d'héritable, ça veut dire que génocider les gays ne résoudrait pas le problème. Les gays apparaissent assez aléatoirement dans la population. En ce sens c'est quelque chose d'incontournable et il conviendrait de composer avec : offrir aux gays un statut qui sera certes toujours à part, puisqu'il ne représenteront toujours qu'une infime partie de la population, mais, au moins, un statut accepté par tout le monde.
En effet, moins ils seront ostracisés et plus ils seront intégrés à notre monde, comment quelqu'un dont les pratiques peuvent lui valoir une mise au pilori peut-il être utile à sa société ? Il n'aura que rancoeurs envers les autres ou envers lui-même, et cette rancoeur l'empêchera d'avancer ou de servir la collectivité. C'est pourquoi il serait plus utile pour nous tous de les accepter tel qu'ils sont.
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