Débat L'homosexualité fait partie de la nature humaine

Le nanisme et la trisomie qui ont disparu grâce au miracle de l'hérédité...
On ne rejette ni les nains, ni les trisomiques, personne ne leur interdit de se marier et on les encourages même à être heureux dans cette condition qui est la leur. Aussi, c'est un peu malhonnête, j'ai dis que l'argument de l'hérédité n'était pas valide et que la comparaison s'arrêtait là : relis ce que j'ai écris.

Puisque tu interpelles sur le sujet, des effets pervers pour la société :
Les chiffres : tu connais les chiffres sur le VIH et les gosses élevés par les homosexs, la corrélation pédophilie/pédérastie/homosexualité.
Plus largement, ça brise un tabou moral qui entraîne la brisure d'un autre tabou moral, et ça fait pente glissante, Tigrou a parlé de ça, et ça atrophie la cohésion sociale. Auparavant y avait une plus grande "sacralisation" de la famille, et une cellule familiale forte = une société forte.
Le fait que des homosexuels aient des relations entre-eux ne t'empêches en rien d'avoir une famille et des enfants. Ce n'est pas parce que l'homosexualité est normalisé que tu ne peux pas avoir de femme, cet argument m'a l'air ridicule, quels sont les mécanismes qui font que, lorsque tu acceptes l'homosexualité comme étant quelque chose de normal tu n'en considères pas moins qu'il faut un homme et une femme pour faire des enfants ? Quels sont ceux qui t'empêchent d'être dévoué envers ta famille ?

Y a aussi des indices qui peuvent nous pousser à dire que les momosexs ne vivent pas très bien leur momosexualité :
Comparativement aux hétérosexuels, les non hétérosexuels sont deux à trois fois plus susceptibles d'avoir été victimes de violence sexuelle pendant leur enfance.
Le taux de suicide, évidemment. Les jeunes momosexs ont 3,5 fois plus de chances de se suicider que les autres jeunes. On pourra dire que c'est à cause de la pression sociale, mais pourtant, les individus homosexuels mariés ont (dans les pays nordiques, réputés pour leur acceptation de l'homosexualité) deux fois plus de chances de se suicider que les hétérosexuels eux aussi mariés.
Cf. aussi les statistiques sur les violences conjugales homosexuelles, plus importantes que chez les hétéros.
Cf. aussi le fait que les momosex ont en moyenne une plus grande prévalence aux troubles psychiques.
Ainsi, une étude britannique menée sur 7 000 personnes montre une prévalence trois fois supé-rieure de troubles de l’humeur (dépression, bipolarité) et de troubles anxieux chez les hommes homosexuels. Une étude américaine conduite auprès de 6 000 patients constate que les HSH ont plus de risque d’avoir une dépression que les hétéros.
La plupart de ces stats sont très biaisés par le fait que l'on évalue pas la prévalence de tel ou tel chose chez une partie normale de la population qui n'a aucun problème d'identité. Ce n'est pas comme si les homosexuels ne connaissaient aucune persécution qui pourrait avoir des conséquences sur leurs autres comportements. Pour que ces stats soient valides, il faudrait que les différents échantillons évoluent dans les mêmes conditions, si tu évalues quel est la part de personnes qui commettent des crimes dans une population donnée et que ta conclusion est "Les gens pauvres commettent plu de crimes que les gens riches", tu ne dois pas en conclure que les pauvres sont à bannir, tu dois en conclure que la pauvreté mène à la criminalité, ou que les conditions particulières de lequels les pauvres évoluent induisent la criminalité. C'est la même chose pour les gays : Il y a un facteur non-négligeable à prendre en compte, c'est qu'aujourd'hui encore, ils sont détestés et rejetés par une bonne partie de la population, ça n'aide pas, et ça a sans doute une incidence sur leur mode de vie.

Forcément qu'une population qui évolue dans un environnement différent de comportera différemment des autres, mais le problème ça n'est pas forcément la population étudiée, mais son environnement.

Prévalence aussi aux drogues et à l'alcool.
C'est sûr que si tu es vu comme étant un être méprisable tu ne vas pas bien le vivre, et t'auras un peu plus souvent envie de te défoncer la tête pour oublier.

Pour tenter d'écarter le coup du "c'est la faute aux discriminations et à l'ambiance homophobe", remettons les choses en perspectives : en France, 231 cas d'agressions homophobe en 2018, contre :
En 2019, 687 faits à caractère antisémite dont 151 « actions » (catégorie qui regroupe les atteintes aux personnes et aux biens).
Proportionnellement, on en arrive à peu près au même délire :noel:
Comme disait Tigrou plus haut, ce ne sont que les agressions, mais tu sais comme moi que beaucoup de gens ne les aiment pas sans pour autant les agresser.
 
Dernière édition:

Tigrou

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Je vais détailler sur ce qui me dérange vraiment dans cette affaire, à un niveau théorique (bien que les conséquences pratiques ne soient pas négligeables).

Toute civilisation a un "art d'aimer", un cadre dans lequel vont se développer les relations romantiques. La "libération sexuelle" et les droits des LGBT font absolument exploser ce cadre, pour le remplacer par un cadre nouveau. Et l'ancien cadre était mieux. Flemme de détailler le modèle ancien de l'art d'aimer, ça prendrait des heures ; je vais plutôt me concentrer sur ce qui me gêne dans le modèle actuel.

La théorie moderne peut être résumée ainsi : les humains ont des désirs qui apparaissent spontanément, et qui peuvent avoir des objets divers (cette diversité des objets = les orientations). Ils cherchent à satisfaire ces désirs avec lesdits objets. Comme c'est un modèle assez universel, la notion de genre n'est pas vraiment pertinente ; on dit que c'est une construction sociale.

On remarque une négation de la polarité des genres. Dans le monde traditionnel, la distinction des genres est un reflet de la polarité cosmique Yin / Yang, c'est-à-dire que chaque genre va avoir un fonctionnement mental qui diffère de l'autre par certains aspects. Les femmes vont avoir des désirs différents des hommes, ce qui s'efface totalement ici. Les notions de complémentarité et de symbiose disparaissent également, sinon dans une satisfaction bilatérale des désirs de l'autre...

Ce qui est justement un autre point qui pue : c'est une conception de la romance (et du sexe) comme d'un autisme à deux. Chacun cherche uniquement son propre plaisir à travers l'autre, qui n'est pas considéré en tant que personne. Dans la conception antique, c'était vu comme l'aspect négatif du sexe, un retour à l'état animal et aux pulsions d'auto-satisfaction. Il y a aussi un aspect positif au sexe et à la romance, mais là il disparaît complètement.

Et justement, comme on n'a pas de théorie qui puisse trier les désirs des uns et des autres comme étant sains ou malsains, alors on se retrouve dans une situation où tout est permis.

En somme : effacement des genres, pas de complémentarité, animalisation du sexe et "autistisation" de la romance, et "tout est permis" en termes de désirs et de pratiques. C'est cette approche qui justifie l'homosexualité ; et cette approche est pourrie.
 

Groucho

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Paix sur vous les homophobes. :-D

@PoulpeDeNoel Ta logique est malsaine. Les gays ont plus de problèmes de santé et de mental, et au lieu de les aider, tu leur crache dessus... C'est des êtres humains comme les autres, si le VIH te gêne (normal) tu devrais plutôt faire un don au sidaction. Ça c'est la vraie solution, pas discriminer une communauté qui est plus susceptible de l'attraper. C'est comme si tu te mettais à être raciste contre les Chinois à cause du coronavirus. Idem pour les probs mentaux : aide-les si t'es un homme ! :muscle:

Ce qui est criminel, ce sont les actes, pas les profils. Les personnes qui ont commis ces crimes ont été jugées et punies, non ? On n'a absolument pas à discriminer les personnes qui ont un point commun avec ces criminels, que ce soit la couleur de leurs cheveux, leur orientation sexuelle, ou qu'ils écoutent du JuL. C'est trop facile de stigmatiser des gens à partir d'actes avec lesquels ils n'ont rien à voir ! :srx:

Non, 231 agressions homophobes c'est pas rien. Il y a eu plus de deux cents personnes qui se sont faites frappées juste parce qu'ils sont gays. C'est beaucoup. Il ne faut jamais oublier que derrière ces chiffres il y a des personnes. Qu'est-ce que tu dirais si c'était arrivé à l'un de tes proches ?

@Tigrou Tu te plains dans le vide, personne ne t'empêche de faire ta vie comme tu veux, selon "l'art d'aimer" que tu veux. Ce que font la libération sexuelle et les droits des LGBT, c'est juste laisser d'autres gens faire la même chose, à savoir vivre comme ils l'entendent. Les gens n'ont pas envie de se faire dicter leur vie intime par une autorité quelconque, c'est fini ça ! :-p
 

PoulpeDeNoel

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On ne rejette ni les nains, ni les trisomiques
T'es sûr ? :hap:

Le fait que des homosexuels aient des relations entre-eux ne t'empêches en rien d'avoir une famille et des enfants. Ce n'est pas parce que l'homosexualité est normalisé que tu ne peux pas avoir de femme, cet argument m'a l'air ridicule, quels sont les mécanismes qui font que, lorsque tu acceptes l'homosexualité comme étant quelque chose de normal tu n'en considères pas moins qu'il faut un homme et une femme pour faire des enfants ? Quels sont ceux qui t'empêchent d'être dévoué envers ta famille ?
Là tu parles à un niveau individuel. Mais quand on prend de la hauteur, la légitimation des relations sexuelles mène à la dégradation de la famille et du mariage. Si on t'apprend que le mariage c'est un homme + une femme, que c'est quelque chose de sacré et que ça vient de Dieu, tu vas davantage vouloir protéger la structure familiale nucléaire que si on te dit qu'osef :ok:
C'est pas une question de "on t"interdit de fonder ta famille", c'est question de "ça rétrograde moralement le statut de la famille" dans l'opinion collective.
Il y a aussi une "pente glissante" qui s'opère d'année en année. Jusqu'où les questions morales liées à l'accouplement et à la famille seront-elles préservées, et quelle influence ça aura sur la société ?
On peut aussi avancer un argument téléologique : homme + femme = enfant, donc homme + femme = voulu par la nature, = bien.

C'est la même chose pour les gays : Il y a un facteur non-négligeable à prendre en compte, c'est qu'aujourd'hui encore, ils sont détestés et rejetés par une bonne partie de la population, ça n'aide pas, et ça a sans doute une incidence sur leur mode de vie.
On pourrait peut-être comparer les bouleversements psychologiques des gays dans différents pays, pour voir si, entre les pays qui leur accordent le plus de droits et ceux qui les pourchassent le plus il y a beaucoup de différences :srx:

Je vois pas en quoi la "haine" qu'on aurait contre eux les pousserait à avoir davantage le VIH que les hétéros :noel:
Les homos sont sans doute davantage portés sur le sexe débridé que les hétéros.

si le VIH te gêne (normal) tu devrais plutôt faire un don au sidaction.
Pourquoi je filerais mon fric au sidaction alors qu'ils peuvent simplement enfiler une capote ? :noel:
Le sidaction et la recherche sur le sida c'est un gouffre à fric dont beaucoup on souligné à quel point l'argent était mal investi. Pleins de chercheurs ont dit que c'était une honte tout l'argent investi dans l'espoir d'un vaccin alors que le vaccin contre le sida leur semble impossible, pour des raisons scientifiques que je ne maîtrise pas.

Non, 231 agressions homophobes c'est pas rien. Il y a eu plus de deux cents personnes qui se sont faites frappées juste parce qu'ils sont gays. C'est beaucoup. Il ne faut jamais oublier que derrière ces chiffres il y a des personnes. Qu'est-ce que tu dirais si c'était arrivé à l'un de tes proches ?
Au regard des agressions contre d'autres communautés, c'est peu :srx: J'ai pas célébré les agressions.

Ce qui est criminel, ce sont les actes, pas les profils. Les personnes qui ont commis ces crimes ont été jugées et punies, non ? On n'a absolument pas à discriminer les personnes qui ont un point commun avec ces criminels, que ce soit la couleur de leurs cheveux, leur orientation sexuelle, ou qu'ils écoutent du JuL. C'est trop facile de stigmatiser des gens à partir d'actes avec lesquels ils n'ont rien à voir ! :srx:
Je dis que c'est le signe d'un problème plus profond que beaucoup partagent apparemment au sein de la population gay, pas que tous les gays étaient des pédos :ok:
 

Tigrou

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Comme dit Poulpe, la logique du "chacun fait ce qu'il veut" est individualiste. En fait c'est un choix collectif déguisé en choix individuel. :srx:

Le sexe anal est plus à risque niveau transmission du VIH aussi. Et la "déstigmatidation" du VIH comme maladie gay risque surtout de leur faire baisser leur garde (et leur pantalon) et d'empirer les choses. :noel:

On peut aussi avancer un argument téléologique : homme + femme = enfant, donc homme + femme = voulu par la nature, = bien.
Je n'aime pas trop cette formulation. On pourrait avoir beaucoup de reproductions avec une promiscuité sans capotes. Mais on n'en a pas lors de mariages avec des femmes stériles ou ménopausées. Faut-il en conclure que le premier est préférable au second ?
 

Ouch

Mangeur de cocopops
(2) On sait qu'il y a une corrélation entre la culture et l'homosexualité. Les Juifs orthodoxes ont très peu de gays. Si on part du principe que c'est hormonal, alors c'est qu'il y a quelque chose dans leur mode de vie qui empêche cette anomalie. On pourrait donc imaginer un programme de recherches qui viserait à identifier chez eux, et dans les autres cultures sans gays, quels sont les éléments qui empêchent ça, pour ensuite les généraliser à toute la population, et ainsi empêcher l'apparition des gays. Est-ce qu'un tel programme serait éthique ? (On peut poser la même question sur un traitement hormonal direct, mais je me concentre sur un truc low-tech pour éviter de partir dans de la bioéthique un peu hors sujet.)

(3) Tant qu'une origine sociale de l'homosexualité n'est pas exclue, le principe de précaution voudrait que l'on restreigne ses possibilités de se répandre par ce biais, si et seulement si l'homosexualité est jugée gênante. Et tant qu'une origine biologique n'est pas exclue, on peut également mener des programmes visant à "soigner" l'homosexualité. Dans tous les cas, la cause de l'homosexualité n'est pas incompatible avec une attitude négative par rapport à celle-ci. :ok:
Comment ça il y a moins de gay chez les juifs ortho que chez les autres peuple ? Faudrait voir le taux de progressisme parmi les différents peuples, et voir le taux de gays dans la population. C'est sûr que dans une société ultra réac t'auras quasiment pas de gay recensé vu que c'est tabou d'être gay. Et surtout comment a été menée l'étude ? Il me faut des sources.
Je suis allé sur conservapédia et souvent c'est des livres qui sont donnés et des livres anciens de 262 pages(EDIT : y a un résumé de ce livre : Summary of the book, My Genes Made Me Do It! ) et en anglais :mort:, mais du coup ça serait bien d'avoir des études plus récentes, même si c'est pas l'ancienneté de quelque chose qui le discrédite.
 

PoulpeDeNoel

Fdp de modo
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Je n'aime pas trop cette formulation. On pourrait avoir beaucoup de reproductions avec une promiscuité sans capotes. Mais on n'en a pas lors de mariages avec des femmes stériles ou ménopausées. Faut-il en conclure que le premier est préférable au second ?
On parle d'un bienfait "en puissance" ; on peut considérer que l'union de l'homme et de la femme ne s'actualise comme bienfait que dès lors qu'il remplit un certain nombre de critères. Un "argument téléologique" n'est pas valable sous "toutes les conditions", je veux dire, un mec pas manchot sera toujours supérieur au manchot même s'il peut frapper/faire des trucs pas cools avec ses mains.
Et puis, si on veut prendre ta question de manière générale, vaudrait mieux pour l'espèce avoir du libertinage que toutes les femmes ménopausées :noel:
 
Je vais détailler sur ce qui me dérange vraiment dans cette affaire, à un niveau théorique (bien que les conséquences pratiques ne soient pas négligeables).

Toute civilisation a un "art d'aimer", un cadre dans lequel vont se développer les relations romantiques. La "libération sexuelle" et les droits des LGBT font absolument exploser ce cadre, pour le remplacer par un cadre nouveau. Et l'ancien cadre était mieux.
Effectivement, auparavant tu aimais ta partenaire parce que tu liais ton destin au siens, aujourd'hui tu aimes ta partenaire parce que lies ton destin au sien :hap:

Je ne pense pas que les relations de couple aient tant changés, les rôles sont simplement moins différenciés, le rôle de femme et de mari sont plus interchangeables. Flemme d'aller plus loin mais j'ai l'impression que c'est une conséquence logique de l'égalitarisme démocratique : il n'y a plus de rôle différenciés au sein même de la société et ça se répercute mécaniquement sur les plus petites cellules qui forment cette société.

Tout est orienté en ce sens, on ne peut aller contre le sens de l'Histoire, ce serait comme tenter d'inverser le cours d'une rivière en ramenant de l'eau dans tes mains jusqu'en amont : c'est parfaitement vain, ce qu'il te faudrait pour ça c'est un barrage et une pompe oléohydraulique :noel: Ou une révolution :noel:

La théorie moderne peut être résumée ainsi : les humains ont des désirs qui apparaissent spontanément, et qui peuvent avoir des objets divers (cette diversité des objets = les orientations). Ils cherchent à satisfaire ces désirs avec lesdits objets. Comme c'est un modèle assez universel, la notion de genre n'est pas vraiment pertinente ; on dit que c'est une construction sociale.
C'est effectivement le cas, si tu es gay, tu es attiré par les hommes et tu cherches à satisfaire ton attirance, si tu es hétéro, tu es attiré par les femmes et tu cherches à satisfaire ton attirance.


On remarque une négation de la polarité des genres. Dans le monde traditionnel, la distinction des genres est un reflet de la polarité cosmique Yin / Yang, c'est-à-dire que chaque genre va avoir un fonctionnement mental qui diffère de l'autre par certains aspects. Les femmes vont avoir des désirs différents des hommes, ce qui s'efface totalement ici. Les notions de complémentarité et de symbiose disparaissent également, sinon dans une satisfaction bilatérale des désirs de l'autre...
Dans les faits personne ne nie tout à fait que les hommes et les femmes cherchent des choses différentes, puisqu'ils cherchent des choses différentes de toutes manière : c'est dans leur nature. Par exemple, les hommes aiment les gros culs et c'est inscrit dans leurs gènes, parce que gros cul = bon bébé.

C'est sûr, y'a deux ou trois tarés pour nier complètement toute différence, mais ce sont des marginaux, dans les fait personne ne contredira jamais tout à fait ça. Dans les faits les gens sont hétéros et ils veulent des enfants, toute femme sait qu'elle doit être enceinte pour ça et qu'à ce titre elle est déjà différente de son conjoint, on ne peut pas nier ce genre de chose. Si tu es un homme hétéro tu cherches quelque chose de différent, tu cherches une femme, si l'on pouvait nier les différences entre les genres, alors un homme hétéro pourrait aussi bien chercher une femme qu'un homme, mais non, il ne veut pas de bite, il veut une chatte, c'est comme ça. Et c'est pareil pour les meufs.

On peut remettre en question certaines différences, mais il y a une limite qui ne pourra être franchie, parce qu'à moins de nous recoder génétiquement, les hommes seront toujours naturellement attirés par les courbes féminines comme les paons sont attirés par les grosses queues colorés :noel:

Oui je sais, c'est le mâle qui parade chez les paons, mais l'idée est là :hap:


Ce qui est justement un autre point qui pue : c'est une conception de la romance (et du sexe) comme d'un autisme à deux. Chacun cherche uniquement son propre plaisir à travers l'autre, qui n'est pas considéré en tant que personne. Dans la conception antique, c'était vu comme l'aspect négatif du sexe, un retour à l'état animal et aux pulsions d'auto-satisfaction. Il y a aussi un aspect positif au sexe et à la romance, mais là il disparaît complètement.
J'ai pas mal d'exemples de couples ayant tenu qui me viennent en tête et je n'ai pas l'impression que ça corresponde à la réalité, dans les faits quand les gens commencent à envisager une vie à deux ils se concertent, ils n'agissent pas égoïstement. D'ailleurs ils ne peuvent pas envisager une vie à deux sans se concerter, tu chercheras forcément à imposer certaines de tes vues mais ça ne peut se faire sans compromis, de cette manière personne n'est frustré et les deux s'épanouissent puisque rien ne leur est imposé. Cette petite compétition me semble plus saine comme fonctionnement que "Ta gueule, je suis le mari, je met du pain sur la table, je décide", c'est volontairement caricaturé mais la situation de dépendance de la femme envers son mari entraînait ce genre de chose, la soumission n'est plaisante pour personne. C'est tout de même mieux de voir ta femme comme une amie avec qui tu as choisis de faire ta vie que comme un bibelot avec lequel avoir des enfants.

Dans les sociétés où il y a encore des mariages arrangés, les arguments de vente pour les meufs c'est pas "t'inquiète vous avez des personnalités compatibles" , c'est "t'inquiète elle sait faire du bon pain et recoudre des chemises" , c'est bof bof de considérer ta femme comme un outil pour faire ta vie plutôt que comme un individu avec qui faire ta vie. Je dirais même que c'est une approche assez autistique de la vie de couple :noel:


Et justement, comme on n'a pas de théorie qui puisse trier les désirs des uns et des autres comme étant sains ou malsains, alors on se retrouve dans une situation où tout est permis.
Tout n'est pas permis, ce qui n'est pas permis c'est d'empiéter sur les libertés de l'autre. D'où l'idée qu'il faille te concerter avec ta femme plutôt que de lui imposer tes décisions. D'où aussi l'idée que tu ne puisse pas l'empêcher de divorcer et de se barrer en lui tapant dessus quand elle te casse les couilles ou qu'elle se rebelle en refusant de faire la lessive, ou de remplir son devoir conjugal :hap:

En somme : effacement des genres, pas de complémentarité, animalisation du sexe et "autistisation" de la romance, et "tout est permis" en termes de désirs et de pratiques. C'est cette approche qui justifie l'homosexualité ; et cette approche est pourrie.
Effacement des genres : Comme dit plus haut, non, dans les faits les gens sont et seront toujours majoritairement hétérosexuels, les genres ne pourront s'effacer tant que la nature dictera aux hommes d'aimer les gros culs, pour reprendre mon exemple d'au dessus.

Pas de complémentarité : Il en faut dans toute relation, une relation sans complémentarité ne fonctionne pas, c'est presque mécanique : des couples se formeront selon les affinités quoi qu'il arrive.

Animalisation du sexe : Yup, mais c'est pas forcément un mauvais point de pouvoir s'éclater au pieux avec ta partenaire :noel: Le sexe n'est pas quelque chose de négatif par essence, le sexe est un besoin naturel et comme pour tout besoin, c'est aux gens de savoir le contrôler pour ne pas tomber dans de funestes excès. Comme pour la bouffe : Manger ce n'est pas négatif, trop manger ça l'est.

"autistisation" de la romance : Comme je l'ai montré plus haut, tu devras toujours prendre en compte les besoins et désirs de ta moitié si tu veux que ton couple fonctionne, ça ne t'empêche pas de tenter d'imposer les tiens dans la limite du raisonnable, en faisant des compromis mutuels pour que ça fonctionne. Un couple où chacun ne pense qu'à lui ne tient pas, alors y'a aucun danger, les gens font ça naturellement quand ils veulent que ça tienne :noel:

"tout est permis" en termes de désirs et de pratiques. : Oui, il plus de choses qui sont permises et tant mieux, en revanche tout n'est pas permis, tu ne peux pas niquer ta mère ni ton chien, ni tes enfants. Par contre tu peux niquer en dehors du mariage.
C'est comme si il fallait absolument manger à table avec des couverts, dans un cadre précis, bof, je peux aussi bien manger ma cuisse de poulet dans mon jardin en mordant dedans à pleine dent, le résultat sera le même.

C'est cette approche qui justifie l'homosexualité ; et cette approche est pourrie : Il semblerait que non :noel:
 
Dernière édition:
Personne n'agresse un nain parce qu'il est un nain et personne ne le regarde avec dégoût :srx:

Là tu parles à un niveau individuel. Mais quand on prend de la hauteur, la légitimation des relations sexuelles mène à la dégradation de la famille et du mariage. Si on t'apprend que le mariage c'est un homme + une femme, que c'est quelque chose de sacré et que ça vient de Dieu, tu vas davantage vouloir protéger la structure familiale nucléaire que si on te dit qu'osef :ok:
C'est pas une question de "on t"interdit de fonder ta famille", c'est question de "ça rétrograde moralement le statut de la famille" dans l'opinion collective.
La religion n'a même plus sa place dans le débat, la déchristianisation de la France est un phénomène inévitable et il convient de s'y adapter. La structure familiale était basé sur une différenciation et une hiérarchisation des rôles, qu'il y ait deux chefs de familles plutôt qu'un ça n'est pas une conséquence du fait que l'on tolère l'homosexualité, c'est une conséquence de l'égalitarisme démocratique. Comme je l'ai dis à Tigrou, si il n'y a plus que des citoyens, plus de stratification sociale, si tu mets chacun sur un pied d'égalité tu fais rentrer dans la tête de tout le monde que chaque individu vaut autant que les autres. Et l'idée que l'on se fait de la manière dont doit être organisé une société se répercute sur l'idée que l'on se fait de la manière dont doit s'organiser une famille.

Si tu abolies toute caste rien ne justifie plus qu'un citoyen ait autorité sur un autre, et ça se répercute dans la famille, cf la citation de Tocqueville sur l'aristocratie qui forme une chaîne allant du paysan au roi tandis que la démocratie brisait la chaîne pour placer chaque maillon à part. Cet égalitarisme ne pouvait que se répercuter dans toutes les structures qui composent la société. Et ça n'a pas grand chose à voir l'homosexualité à la base.

Il y a aussi une "pente glissante" qui s'opère d'année en année. Jusqu'où les questions morales liées à l'accouplement et à la famille seront-elles préservées, et quelle influence ça aura sur la société ?
On peut aussi avancer un argument téléologique : homme + femme = enfant, donc homme + femme = voulu par la nature, = bien.
La famille existera toujours parce qu'il faut un homme et une femme pour faire des enfants + que les gens sont en écrasante majorité hétéro
Sinon : homme = prostate = orgasme par le cul = voulu par la nature :noel:

On pourrait peut-être comparer les bouleversements psychologiques des gays dans différents pays, pour voir si, entre les pays qui leur accordent le plus de droits et ceux qui les pourchassent le plus il y a beaucoup de différences :srx:
Ce serait intéressant oui

Je vois pas en quoi la "haine" qu'on aurait contre eux les pousserait à avoir davantage le VIH que les hétéros :noel:
Les homos sont sans doute davantage portés sur le sexe débridé que les hétéros.
Tu deviens plus facilement névrosé et déviant si tout le monde te crache dessus, quand t'es ostracisé tu peux difficilement tourner bien, regarde les clochards qui mangent leurs crottes de nez dans la rue.
 

Tigrou

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Généreuse contribution de Fleke au débat quant à l'homosexualité chez les Juifs orthodoxes :

Flemme d'aller plus loin mais j'ai l'impression que c'est une conséquence logique de l'égalitarisme démocratique : il n'y a plus de rôle différenciés au sein même de la société et ça se répercute mécaniquement sur les plus petites cellules qui forment cette société.
"Il était inconcevable qu'un monde qui a « dépassé » les castes en rendant à chaque être humain ─ pour reprendre le jargon jacobin ─ sa « dignité » et ses « droits », pût conserver la moindre intelligence des justes relations entre les sexes. L'émancipation de la femme devait fatalement suivre celle du cerf et compléter la glorification du sans-classe et du sans-tradition, à savoir du paria.

Dans une société qui ne sait plus rien de l'Ascète, ni du Guerrier ; dans une société où les mains des derniers aristocrates semblent faites davantage pour des raquettes de tennis ou des shakers de cocktails que pour des épées ou des sceptres ; dans une société où le type de l'homme viril – quand il ne s'identifie pas à la larve blafarde appelée « intellectuel » ou « professeur », au fantoche narcissique dénommé « artiste », ou à cette petite machine affairée qu'est le banquier ou le politicien – est représenté par le boxeur ou l'acteur de cinéma ; dans une telle société, il était naturel que la femme se révoltât et revendiquât pour elle aussi une « personnalité » et une liberté au sens moderne, donc anarchiste et individualiste, de ces termes.

Alors que l'éthique traditionnelle demandait à l'homme et à la femme d'être toujours plus eux-mêmes, d'exprimer par des traits de plus en plus nets ce qui fait de l'un un homme, de l'autre une femme – nous voyons la civilisation moderne se tourner vers le nivellement, vers l'informe, vers un stade qui, en réalité, n'est pas au-delà, mais en-deçà de l'individuation et de la différence entre sexes."
— Julius Evola

(Merci à Fleke encore une fois.)

Par exemple, les hommes aiment les gros culs et c'est inscrit dans leurs gènes, parce que gros cul = bon bébé.
L'une des principales critiques contre la psychologie évolutive, c'est que pour n'importe quelle observation, on peut sortir de nombreuses explications "évolutives" du chapeau, sans aucun moyen de vérifier laquelle est vraie. Quand quelqu'un donne une explication évolutive pour quelque chose, ça en dit bien plus sur lui que sur le fait qu'il cherche à expliquer. Par exemple, là j'ai surtout appris que tu aimes les gros culs. :noel:

Protip scientifique : il faut d'abord vérifier que le fait qu'on cherche à expliquer est réel. Je n'ai pas vraiment de raison de croire que l'attrait pour les gros culs soit un universel humain. :thinking:

J'ai pas mal d'exemples de couples ayant tenu qui me viennent en tête et je n'ai pas l'impression que ça corresponde à la réalité, dans les faits quand les gens commencent à envisager une vie à deux ils se concertent, ils n'agissent pas égoïstement.
Insérer statistiques sur l'évolution du nombre de divorces au fil du temps.

la soumission n'est plaisante pour personne
Les goûts des femmes en terme de contenus érotiques ne sont pas d'accord. :noel:

Dans les sociétés où il y a encore des mariages arrangés, les arguments de vente pour les meufs c'est pas "t'inquiète vous avez des personnalités compatibles" , c'est "t'inquiète elle sait faire du bon pain et recoudre des chemises" , c'est bof bof de considérer ta femme comme un outil pour faire ta vie plutôt que comme un individu avec qui faire ta vie. Je dirais même que c'est une approche assez autistique de la vie de couple
Rir la musulmanie c'est pas exactement un modèle non plus :noel:

Yup, mais c'est pas forcément un mauvais point de pouvoir s'éclater au pieux avec ta partenaire :noel: Le sexe n'est pas quelque chose de négatif par essence, le sexe est un besoin naturel et comme pour tout besoin, c'est aux gens de savoir le contrôler pour ne pas tomber dans de funestes excès. Comme pour la bouffe : Manger ce n'est pas négatif, trop manger ça l'est.
C'était pas mon point en fait. :hap:

Comme je l'ai montré plus haut, tu devras toujours prendre en compte les besoins et désirs de ta moitié si tu veux que ton couple fonctionne, ça ne t'empêche pas de tenter d'imposer les tiens dans la limite du raisonnable, en faisant des compromis mutuels pour que ça fonctionne. Un couple où chacun ne pense qu'à lui ne tient pas, alors y'a aucun danger, les gens font ça naturellement quand ils veulent que ça tienne :noel:
Yep, un couple où chacun ne pense qu'à lui ne tient pas. Et il se trouve que le taux de couples qui tiennent s'est quand même monumentalement cassé la gueule. Ça confirme donc mon propos. :noelpipe:

Oui, il plus de choses qui sont permises et tant mieux, en revanche tout n'est pas permis, tu ne peux pas niquer ta mère ni ton chien, ni tes enfants.
Si tu dis des trucs objectivement faux, c'est facile d'y répondre. :noel:

Tu peux niquer ta mère, rien ne te l'interdit. Tu peux niquer du chien du moment que ça ne constitue pas des "sévices", par exemple aucune femme n'a été condamnée pour zoophilie en France vu que c'est clair que ce n'est pas des sévices si c'est le chien qui encule. (Donc c'est pas la zoophilie qui gêne en soi.) Tu as également le droit de coucher avec tes enfants du moment qu'ils sont majeurs, rien ne te l'interdit non plus. :ok:
 
Généreuse contribution de Fleke au débat quant à l'homosexualité chez les Juifs orthodoxes :



"Il était inconcevable qu'un monde qui a « dépassé » les castes en rendant à chaque être humain ─ pour reprendre le jargon jacobin ─ sa « dignité » et ses « droits », pût conserver la moindre intelligence des justes relations entre les sexes. L'émancipation de la femme devait fatalement suivre celle du cerf et compléter la glorification du sans-classe et du sans-tradition, à savoir du paria.

Dans une société qui ne sait plus rien de l'Ascète, ni du Guerrier ; dans une société où les mains des derniers aristocrates semblent faites davantage pour des raquettes de tennis ou des shakers de cocktails que pour des épées ou des sceptres ; dans une société où le type de l'homme viril – quand il ne s'identifie pas à la larve blafarde appelée « intellectuel » ou « professeur », au fantoche narcissique dénommé « artiste », ou à cette petite machine affairée qu'est le banquier ou le politicien – est représenté par le boxeur ou l'acteur de cinéma ; dans une telle société, il était naturel que la femme se révoltât et revendiquât pour elle aussi une « personnalité » et une liberté au sens moderne, donc anarchiste et individualiste, de ces termes.

Alors que l'éthique traditionnelle demandait à l'homme et à la femme d'être toujours plus eux-mêmes, d'exprimer par des traits de plus en plus nets ce qui fait de l'un un homme, de l'autre une femme – nous voyons la civilisation moderne se tourner vers le nivellement, vers l'informe, vers un stade qui, en réalité, n'est pas au-delà, mais en-deçà de l'individuation et de la différence entre sexes."
— Julius Evola

(Merci à Fleke encore une fois.)
Based & redpilled

L'une des principales critiques contre la psychologie évolutive, c'est que pour n'importe quelle observation, on peut sortir de nombreuses explications "évolutives" du chapeau, sans aucun moyen de vérifier laquelle est vraie. Quand quelqu'un donne une explication évolutive pour quelque chose, ça en dit bien plus sur lui que sur le fait qu'il cherche à expliquer. Par exemple, là j'ai surtout appris que tu aimes les gros culs. :noel:

Protip scientifique : il faut d'abord vérifier que le fait qu'on cherche à expliquer est réel. Je n'ai pas vraiment de raison de croire que l'attrait pour les gros culs soit un universel humain. :thinking:
J'ai du mal à retrouver le papier, il me semble que je l'avais partagé sur discord il y a un moment. Mais le fait est que les gros culs - et certaines cellules graisseuses en particuliers dont j'ai oublié le nom - donnent des enfants plus intelligents, et en meilleur forme. Alors, qu'on ait sélectionné les gros culs et qu'on les aimes pour cette raison, ça ne serait pas surprenant, même si ça paraît un peu ad-hoc.

Si un corps musculeux est plus attirant qu'un corps frêle et chétif, c'est parce qu'un corps musculeux c'est plus pratique pour survivre qu'un corps cadavérique. Prouve-moi tord :fdp:

Les femelles paons sélectionnent les mâles aux couleurs les plus vives parce que c'est un marqueur de bonne santé et par extension de bonne génétique, en effet ces couleurs sont "coûteuses" à produire et à entretenir, un mâle qui parvient à rester en forme malgré ce handicap est un bon mâle, par exemple.
C'est valable pour un tas d'espèces animales, alors pourquoi pas pour l'homme ?

Insérer statistiques sur l'évolution du nombre de divorces au fil du temps.
Qui peuvent êtres liés à tout un tas de trucs, je rappelle quand même qu'auparavant le divorce était inenvisageable et que, même quand il l'est devenu, il y avait une force pression sociale qui te dissuadait de divorcer. Dans les familles campagnardes, de ce que m'en ont dit les vieux, jusque très récemment les divorcés étaient mal vu. Alors utiliser le nombre de divorce comme argument pour dire "Mais regarde les couples allaient mieux avant", bof hein, c'est comme si j'interdisais strictement l'homosexualité en menaçant les gays de mort et que je faisais des stats pour ensuite dire "Bah tu vois y'a moins de gays". Bah oui, forcément, y'a moins de gays puisqu'ils se cachent :hap:

Les goûts des femmes en terme de contenus érotiques ne sont pas d'accord. :noel:
C'est pas parce que t'aime la passivité au lit que tu l'aimes dans la vie de tous les jours. Il y a des couples qui s'amusent à simuler des viols, mais c'est pas pour autant que la meuf à qui ça plaît dans ce contexte aimerait subir un vrai viol. Et c'est pas parce qu'elle aime être soumise au lit qu'elle aime être soumise tout court.


Rir la musulmanie c'est pas exactement un modèle non plus :noel:
Que ce soit en Indes ou en musulmanie, quand tes parents arrangent un mariage ils se basent sur ce genre de critères, pas sur la compatibilité des deux personnes.

C'était pas mon point en fait. :hap:
Explique alors :srx:

Yep, un couple où chacun ne pense qu'à lui ne tient pas. Et il se trouve que le taux de couples qui tiennent s'est quand même monumentalement cassé la gueule. Ça confirme donc mon propos. :noelpipe:
"Avant les couples avaient interdictions de se séparer, si ta femme te cassait les couilles tu pouvais lui coller une baffe, et ils tenaient, les couples, ça veut dire que les gens pensaient + à l'autre :autiste: "
Bon dans les faits, quand t'aime ta femme tu ne tape pas dessus, même à l'époque, mais ça n'empêche que si la cohabitation devient insupportable, t'es coincé à vie. Et si ça te devient trop insupportable, vu que tu en a le droit et que ça n'est pas vraiment trop mal vu, tu peux toujours caler une bonne taloche à ta meuf pour qu'elle bouge son cul et qu'elle se conforme à ce que tu veux. Comme ça, tu peux sauver ton couple :noel:

Comme je disais plus haut, le fait qu'il y ait plus de couples qui tiennent, ça ne veut pas dire que les couples étaient de meilleur qualité.

Si tu dis des trucs objectivement faux, c'est facile d'y répondre. :noel:

Tu peux niquer ta mère, rien ne te l'interdit. Tu peux niquer du chien du moment que ça ne constitue pas des "sévices", par exemple aucune femme n'a été condamnée pour zoophilie en France vu que c'est clair que ce n'est pas des sévices si c'est le chien qui encule. (Donc c'est pas la zoophilie qui gêne en soi.) Tu as également le droit de coucher avec tes enfants du moment qu'ils sont majeurs, rien ne te l'interdit non plus. :ok:
Nique ta mère, puis, fais-toi enculer par ton chien et va ensuite baiser ta fille de 18 ans. Après ça, parle-en autours de toi et regarde si on te côtoie encore :hap:
 
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